Avoir un enfant est génial, sauf que c’est une grosse responsabilité, car vous devez être toujours là dans sa joie comme dans sa douleur.
C’est un être autant fort que fragile, cette étape de la vie humaine est vraiment critique, et en tant qu’adulte et parent, vous serez le seul responsable de ce qu’il deviendra un jour.
Parfois de petits détails que nous négligeons souvent peuvent être beaucoup plus importants que ce que l’on imagine, et provoquent même de lourdes conséquences tout au long d’une existence, comme quand ils vous disent qu’ils ont mal au ventre !
Oui, avouons que parfois les jeunes se permettent de mentir à ce propos pour ne pas passer un examen, ou pour rester à la maison afin de dormir ou de jouer.
Sauf que ce n’est pas toujours le cas..
Cela dépend d’un enfant à l’autre selon l’éducation qu’il reçoit ou son propre caractère.
Généralement, quand la souffrance n’est pas prétendue, il ne faudrait jamais la négliger, car elle serait due à:
– L’anxiété: Tout est lié au système nerveux, même le système digestif dont l’estomac, par exemple, dès qu’on est anxieux, une alerte sous forme de douleur abdominale se manifeste.
– Cette anxiété peut être à son tour due à : une peur, un harcèlement, une tristesse..etc.
Fouillez dans le cerveau et dans le quotidien de votre petit !
Tout ce qu’on vient de citer, s’il demeure ignoré pour très longtemps, il peut engendrer de sérieux problèmes :
– Un trouble anxieux: La personne vivra avec, comme si c’était sa vraie personnalité, ce qui va affecter son comportement, ses relations et sa vie sociale, et surtout ses études et sa carrière.
– Une dépression: Environ la moitié des personnes ayant connu ce genre de douleur dans leur enfance sont devenues dépressives avec le temps.
Une dépression est en soi-même un mal et est beaucoup plus dangereuse que ce vous croyez.
Quand vous remarquez ce type d’anomalie ou de douleur chez votre enfant, on vous recommande de :
– Le croire, avant tout: Accordez-lui une chance de s’exprimer, écoutez-le, cela peut l’aider et apaiserait même le mal.
– Le convaincre de poursuivre normalement sa vie quotidienne: Malgré la douleur, il doit aller à l’école, voir ses amis, jouer, apprendre, emmenez-le au parc ou à l’endroit qu’il préfère d’habitude pour qu’il se détende.
Bref, il doit comprendre qu’il ne craint rien, qu’il est en sécurité et que la vie continue.
– Consulter un spécialiste: D’abord son pédiatre, puis un thérapeute qui comprendrait peut être mieux la situation de votre enfant.
Soyez surtout réguliers dans les séances !
– Apaiser sa nervosité: Comment? C’est très simple, un enfant n’est pas très compliqué à satisfaire.
Avant tout apprenez-lui comment contrôler sa colère intérieure avec la respiration, un cours de yoga « ensemble » serait une idée géniale, car un enfant veut toujours partager des activités avec les grands, notamment ceux qu’il aime, en plus cela lui permettra de régulariser le rythme de sa respiration.
– Créer un mode de vie sain: Adaptez-le à un rythme particulier et sain.
La santé physique a un énorme effet sur la santé mentale.
Manger sain, pratiquer une activité physique régulière et surtout s’il s’agit de sa passion, dormir tôt et suffisamment, lui procurer le cadre de vie stable et encourageant dont il a besoin..Tout cela est en soi-même une thérapie .
Enfanter ne suffit pas pour dire qu’on est parent, c’est le rôle accompli qui le démontre.
Cette responsabilité est très lourde et on doit être prêt(e) à l’affronter pour ne pas créer des « monstres » ou des personnes « déchues ».
Surveiller son petit, l’avoir à l’œil tout en lui offrant l’autonomie et la liberté dont il a besoin, réaliser cet équilibre, n’est pas évident pour tout le monde, mais c’est aussi simple si on se concentre un peu plus sur le plus beau métier au monde: celui de papa ou maman !
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